Mer morte
Qumran
Ein Gedi
Massada
Arad
Bersheva
Le jourdain
Le Jourdain, en hébreu, Nehar haYarden qui veut dire « la Rivière de la Peine » ou « du Jugement ». Il a donné son nom à la Jordanie et à la Cisjordanie. Du mont Hermon à la mer Morte, le Jourdain s’écoule sur 360 km et sa vallée est la plus basse du monde puisqu’il rejoint la mer Morte à l’altitude de 392 m sous le niveau des océans. Jésus fut baptisé par Jean-Baptiste dans le Jourdain.
Beth Abara, lieu du baptême Photo E. Pastore
Beth Abara, lieu du baptême, en face du site jordanien AI-Maghtas
La mer morte
La mer Morte est un lac salé du Proche-Orient partagé entre Israël, la Jordanie et la Palestine. D’une surface approximative de 810 km2, il est alimenté par le Jourdain. Alors que la salinité moyenne de l’eau de mer oscille entre 2 et 4 %, celle de la mer Morte est d’approximativement 27,5% (275 grammes par litre). Aucun poisson et aucune algue (macroscopique) ne peuvent subsister dans de telles conditions, ce qui lui vaut le nom de «mer morte ».
Mer Morte Photo E. Pastore
Mer Morte Photo E. Pastore
Massada
Massada (de l’hébreu מצדה, metsada, « forteresse ») est un site constitué de plusieurs palais et de fortifications antiques perchés sur un socle de granit, situé en Israël au sommet d’une montagne isolée sur la pente Est du désert de Judée.
Masada Photo E. Pastore
Vue depuis Masada Photo E. Pastore
Vue depuis Masada Photo E. Pastore
Qumran
Qumrân est un site archéologique en Palestine en surplomb de la rive ouest de la mer Morte en Cisjordanie, sur la terre historique du royaume de Judée. Il est constitué de vestiges de bâtiments occupés approximativement entre -100 et +70, de 11 grottes dans lesquelles on a retrouvé, entre 1947 et 1956, les plus anciens manuscrits hébraïques actuellement répertoriés, connus sous le nom de manuscrits de la mer Morte, et d’un cimetière d’environ 1200 tombes.
Qumrân Photo E. Pastore
Qumrân Photo E. Pastore
Qumrân Photo E. Pastore
Qumrân Photo E. Pastore
Qumrân Photo E. Pastore
Rouleau du prophète Isaïe retrouvé a Qumrân
Ein gedi
Ein Gedi est une oasis et une ancienne ville au bord de la rive occidentale de la mer Morte à la limite du désert de Judée en Israël. Elle est située à proximité des sites de Massada et de Qumran. Il est fait plusieurs fois référence à cette oasis dans la Bible. C’est là que se cacha le roi David lorsqu’il était poursuivi par Saül. Ein Gedi est aussi mentionné dans le livre d’Ezéchiel (47:10), dans le Cantique des Cantiques (1:14) et dans le livre des Chroniques (20:2). C’est aujourd’hui un parc national israélien. Ce site de 25 km2 a obtenu le statut de réserve naturelle en 1972.
Vue sur la mer Morte depuis Ein Ghedi
Ein Ghedi Photo E. Pastore
Vue sur la mer Morte depuis Ein Ghedi Photo E. Pastore
Cascade d'Ein Ghedi Photo E. Pastore
Cascade d'Ein Ghedi Photo E. Pastore
Cascade d'Ein Ghedi Photo E. Pastore
Bersheva
Beer-Sheva, Be’er Sheva ou Bersabée ou Beersheba (en hébreu : בְּאֶר שֶׁבַע, puits du serment ou puits des sept, est une ville du district sud d’Israël. Abraham y fit un long séjour. C’est ici que continue l’épopée dans la foi du premier homme dont la postérité allait être aussi nombreuse que les étoiles dans le ciel.
Ville de Bersheba
Autel à cornes Photo E. Pastore
Avdat
Avdat ou Ovdat ou encore Oboda (he: עבדת) est le nom d’une ancienne halte caravanière nabatéenne sur la route commerciale de l’encens et des épices.
Vue depuis Avdat Photo E. Pastore
Avdat Photo E. Pastore
église byzantine, Avdat Photo E. Pastore
église byzantine, Avdat Photo E. Pastore
Arad
Tel Arad est un site archéologique d’Israël situé dans l’est du Néguev à 10 km à l’ouest de la ville d’Arad. Il se trouve dans la vallée d’Arad, à l’est de la vallée de Beer-Sheva. Le tel culmine à 576 m d’altitude. Le site est divisé en deux parties : la ville basse occupée à l’âge du bronze ancien (3300 à 2200 av. J.-C.) et le tel occupé à partir de l’âge du fer, où se trouve une forteresse israélite. Le tel a été occupé jusqu’à la période byzantine. Un sanctuaire est installé dans le quart nord ouest de la forteresse. Le temple se compose d’une grande pièce allongée équipée des bancs le long des murs. Une grande niche est aménagée au centre du mur ouest. Il s’agit du naos du temple, analogue au débir du Temple de Jérusalem. Une grande stèle aux bords arrondis et portant des traces de peinture rouge y a été retrouvée. L’accès au naos se fait par quatre marches. Deux autels à encens sont installés de part et d’autre des marches. Devant le sanctuaire, on trouve une grande cour pavée au centre de laquelle est construit un autel sacrificiel de 2,4 m par 2,2 m et de 1,5 m de haut.
Arad Photo E. Pastore
Arad Photo E. Pastore
Saint des Saints, temple d'Arad Photo E. Pastore
église byzantine, Arad Photo E. Pastore
